Période palpitante remplie d’excitation, mais pas que…
Selon l’IRISSO, 37% des actifs estiment que leur travail est insoutenable, au point de ne pas se sentir capables de continuer jusqu’à la retraite.*
59% des hommes…♂
63% des femmes… ♀
Estiment que trouver un équilibre entre vie professionnelle et personnelle est difficile. Beaucoup d’entre eux souhaitent réduire l’emprise du travail pour consacrer plus de temps à d’autres activités.
⚠ Il ne s’agit pas d’un rejet du travail en soi, mais plutôt d’une volonté de (re)trouver une certaine harmonie.
Comment renverser cette tendance ⁉
En proposant des emplois en adéquation avec les nouvelles attentes du marché du travail (simple mais pas facile 🤔).
❌ Les schémas traditionnels tels que les modèles de Ford ou de Taylor, qui fragmentent les tâches en opérations simplistes et dépersonnalisées, ne sont plus en mesure de garantir la performance organisationnelle.
✔ De nos jours, les talents qualifiés sont attirés par des rôles qui ont une signification profonde.
❌ On ne comble plus des postes sans prendre en compte la dimension humaine des nouveaux collaborateurs.
✔ On forme des groupes cohérents partageant des valeurs, des aspirations et des objectifs communs.
Cette transition vers une perspective plus humaine et unifiée assurera la résilience et l’agilité de l’entreprise 💫
Par exemple, chez LaRueDesArtisans, LAVOISIER Maroquinier et la Guêpe 🐝, le recrutement est axé sur le savoir-être plutôt que le savoir-faire.
Les opportunités de développement fournies par l’entreprise et la curiosité des collaborateurs sont propices à une meilleure motivation au quotidien 💪
Dans l’équipe, plusieurs membres ont des horaires aménagés pour consacrer plus de temps à leurs activités et/ou leurs formations 📚 🏆
L’équipe se sent valorisée, entendue et cela se reflète dans leur engagement quotidien et leur participation active au développement de l’entreprise 😇
Promis, ils ne sont pas obligés de sourire sur la photo 😁
Et vous, quels sont vos conseils pour rendre le travail plus épanouissant ?
*Source: Institut de Recherche Interdisciplinaire en Sciences Sociales (IRISSO) à l’Université Paris Dauphine-PSL.
