Pas n’importe quel poisson, un poisson local et bien connue des pêcheurs du Tarn, le silure.
En effet la rivières Tarn bien abrite d’énormes silures qui font la joie des pêcheurs et maintenant des maroquiniers.
Ces jolies et grandes peaux sont enfin valorisées, grâce au savoir-faire des tanneurs locaux.
Après 8 mois de mise au point, le tannage des peaux de silure est à présent parfait.
Le cuir est très fin mais étonnamment résistant, un produit d’une qualité rare.
C’est un tannage végétal qui nous donne les meilleurs résultats, et c’est l’écorce de chêne qui est utilisée principalement.
Le chêne est très présent sur le département, une chance.
Nous développons actuellement une collection complète de petite maroquinerie (on vous en dira plus prochainement).
Et bonne nouvelle, les sous-mains en cuir de silure sont déjà sur le marché, ils sont de toute beauté.
Nous avons, en avant-première, équipé plusieurs yacht de luxe à Monaco, une clientèle qui recherche l’originalité et le bon gout, sans oublier la qualité.
Les sous mains seront bientôt en ligne sur www.laruedesartisans.com pour en savoir plus, nous contacter à silure-cuir@laruedesartisans.com
C’est vrai ou c’est un poisson d’avril? Moi,je me rappelle le galuchat, mais ça, c’était vrai, et très beau en plus.
Bonjour Cédric,
Merci beaucoup de m’avoir fait part de votre nouveau produit à savoir la peau du poisson silure, je
connais le galuchat qui est à un prix exorbitant mais la peau de silure, je ne connais pas et n’en ai
jamais entendu parler. D’après la photo elle semble très belle (la peau), mais une petite question
reste à vous poser : quel est le prix du sous-main du bureau. Si cela reste dans mes moyens, alors
je vous en achèterai une par la suite.
Je vous souhaite un très bon week-end et vous salue très cordialement.
Annie Catherine CHAUMONT
Un article pareil ça n’a pas de prix ! Mais mon calendrier indique 1er avril !!! il est beau ce poisson !
Impressionnante la bestiole ! Ça se mange, donc ?
Peaux travaillées par des artisans locaux, tannage végétal à l’écorce de chêne, savoirs-faire maintenus, c’est très, très bien. Mais, j’imagine, j’espère que le prélèvement de l’espèce se fait de manière « responsable », comme le reste ? Il ne faudra pas tomber dans l’exploitation outrancière de l’animal et causer des désordres biologiques, car ce poisson a certainement son rôle dans son milieu naturel. Mais peut-être est-il en sur-effectifs actuellement ? Dans tous les cas, rester raisonnable.
Merci à tous pour vos commentaires!!
En effet la peau du poisson d’Avril ne sera pas tannée cette année.
A l’année prochaine, il faudra que nous soyons plus inventifs 🙂
Ah ces albigeois ! 🙂